« Atypique, surtout pour un Islay »
Longtemps atypique par rapport aux autres distilleries d’Islay (car n’utilisant pas de malts tourbés), elle est située tout au nord de l’Île. Signifiant “Bouche de la crique”, elle se prononce Bouna’hav’n en gaélique. Fondée en 1881 par William Robertson et les frères Greenless, elle a connu plusieurs longues périodes d’arrêt, y compris après avoir été agrandie en 1963. Après quelques années d’incertitude, elle a été rachetée en 2003 par Burn Stewart qui a relancé la commercialisation et développé de nouvelles expressions, notamment tourbées.
Jaune pâle. Nez discret, plutôt céréalier (paille) à l’aération. Sec à l’attaque, avec des notes poivrées, il se développe dans la même tonalité, évoluant même sur une forte astringence. Fruits jaunes (poire, pomme) lui donne un peu d’ampleur aromatique. Sec et minéral jusqu’à la fi nale, le rendant surtout intéressant à l’apéritif. Très inhabituel pour cette distillerie d’Islay.
Donald MacKenzie et Mackay Smith, on pourrait très bien les appeler « les Fils d’Islay ». respectivement originaires des villages de Port Charlotte et de Portnahaven situés à l’ouest de la mythique île d’Islay, ils ont grandi tous les deux au milieu des huit distilleries d’Islay, et dans leurs veines coule un sang… tourbé ! Ils ont d’abord créé FLATNÖSE, un blend riche en goût, présenté comme « un whisky à boire avec ses amis, pour fêter les joies, et diminuer les peines ».
Le nom est emprunté à Ketill Flatnöse un des premiers « Lords of the Isles » qui régnait sur la côte ouest de l’Ecosse au début de 2 eme millénaire…
Voici le tout nouveau Flatnöse blended malt Peated embouteillé à 46°. Assemblé à partir de 100% de Single Malt provenant de chaque région de production, avec un accent sur ceux provenant de l’île d’Islay, tout naturellement !
Ainsi la tourbe est présente, de manière douce mais persistante, et équilibrée par des saveurs délicates de miel et de citron confit et bien entendu non filtré à froid. Nez : fumé, miel, agrumes confits.
Bouche : tourbe, douceur, miel. Finale : longue, fumée, délicate
« Mariage entre la tourbe et le vin »
Longtemps atypique par rapport aux autres distilleries d’Islay (car n’utilisant pas de malts tourbés), elle est située tout au nord de l’Île. Signifiant “Bouche de la crique”, elle se prononce Bouna’hav’n en gaélique. Fondée en 1881 par William Robertson et les frères Greenless, elle a connu plusieurs périodes d’arrêt, y compris après avoir été agrandie en 1963. Après quelques années d’incertitude, elle a été rachetée en 2003 par Burn Stewart qui a relancé la commercialisation et développé de nouvelles expressions, notamment tourbées.
Ambré soutenu à reflets rosés. Nez très vif sur la tourbe. Attaque puissante (un peu d’eau peut être nécessaire) sur le tourbe, le charbon de bois, mais adoucie par un fruité assez doux. Belle longueur sur les fruits compotés, le caramel cuit et le brûlé, avec une remarquable persistance. Belle alliance entre la tourbe et le vineux, ce qui est rare.
« De la tourbe bien fumée »
Longtemps atypique par rapport aux autres distilleries d’Islay (car n’utilisant pas de malts tourbés), elle est située tout au nord de l’Île. Signifi ant “Bouche de la crique”, elle se prononce Bouna’hav’n en gaélique. Fondée en 1881 par William Robertson et les frères Greenless, elle a connu plusieurs longues périodes d’arrêt, y compris après avoir été agrandie en 1963. Après quelques années d’incertitude, elle a été rachetée en 2003 par Burn Stewart qui a relancé la commercialisation et développé des expressions nettement tourbées, comme celle-ci, deuxième à porter le nom « fumé » (toiteach en gaélique).
Jaune doré soutenu. Nez bien tourbé, avec de l’élégance et des notes fruitées, ainsi qu’un boisé bien présent sans être écrasant. En bouche, la tourbe domine, avec aussi un caractère très poivré, accompagné d’une relative douceur fruitée (pomme cuite), sans doute due à un fût de xérès. Finale très puissante sur le poivre noir et la tourbe avant tout fumée en arrière-plan.
Sec et surtout tourbé …
Sous cette dénomination originale («Comme nous l’avons trouvé»), Ian Mac Leod propose régulièrement l’embouteillage d’un fût unique (single cask) soutiré sans la moindre manipulation : pas de réduction, pas de filtrage à froid, pas de colorant. Pur et naturel, peut-on dire. Tout repose bien évidemment sur le talent et le savoir-faire du maître de chais pour sélectionner un fût intéressant. Pas d’âge ni d’origine géographique pour ce nouveau fût.
Jaune pâle. Nez malté, assez sec, fruité sur le bonbon anglais. Attaque sèche et brûlante, puis une tourbe avec un peu de fumé se fait sentir en arrière-plan. Equilibré et homogène, sa puissance tourbée finit par dominer le palais sans agressivité. Avec son profil bien net, sans fioritures, c’est un remarquable apéritif.
Atypique, surtout pour un « Islay » ..
Le tout nouveau Bårelegs Islay Single Malt est issu de l’une des distilleries les plus connues de l’est de l’île d’Islay, dont on ne peut dévoiler le nom ! Il s’agit d’un single malt tourbé typiquement « Islay », mais ici la tourbe est assez douce et abordable, avec un joli croquant en bouche, et une belle longueur gourmande. Il est embouteillé à 46°, et il est bien entendu non-filtré à froid afin de conserver toutes ses saveurs.
Nez : tourbe, fumé, bord de mer.
Bouche : tourbe, fraicheur, croquant.
Finale : longue, tourbée, nette.
Non tourbé, mais éminemment délectable …
Longtemps atypique par rapport aux autres distilleries d’Islay (car n’utilisant pas de malts tourbés), elle est située tout au nord de l’île. Signifiant « Bouche de la crique », elle se prononce Bouna’hav’n en gaélique. Fondée en 1881 par William Robertson et les frères Greenless, elle a connu plusieurs longues périodes d’arrêt, y compris après avoir été agrandie en 1963. Après quelques années d’incertitude, elle a été rachetée en 2003 par Burn Stewart qui a relancé la commercialisation et développé de nouvelles expressions, notamment tourbées.
Ambré. Surtout malté au nez, avec des notes animales et caramel. Puissant, et même un peu brûlant (mais supportable), il développe une grande harmonie sur le boisé, le sous-bois, le caramel au beurre, la vanille et la pommme cuite, dans un ensemble fondu et rehaussé par de fines notes épicées (cannelle, muscade ?). Non tourbé, mais éminemment délectable…
Pas mal pour un réduit …
Avec un nom qui signifie en gaélique « le détroit d’Islay », un emplacement en face de l’île de Jura, et une eau bien tourbée, la distillerie a toujours eu de quoi intéresser les amateurs de malts puissants. Bien que fondée en 1846, Caol Ila a été complètement remaniée vers 1972 par United Distillers (Diageo aujourd’hui). Compte tenu de la demande, elle a été à nouveau agrandie en 2011, ce qui porte sa capacité à 6,5 millions de litres par an. Elégants et bien tourbés, ses malts sont aujourd’hui disponibles en de multiples versions, mais existent aussi des malts non tourbés.
Jaune très pâle. La tourbe, surtout phénolique, est présente dès le premier nez, devenant plus maritime par la suite. De l’ampleur dès l’attaque, avec la tourbe en dominante, accompagnée de notes épicées et un peu résineuses, et aussi de fruits secs (noisettes). Finale chaleureuse voire un peu brûlante. Pas mal pour un réduit… surtout aussi jeune !
Agréablement tourbé …
Longtemps atypique par rapport aux autres distilleries d’Islay (car n’utilisant pas de malts tourbés), elle est située tout au nord de l’Île. Signifiant “Bouche de la crique”, elle se prononce Bouna’hav’n en gaélique. Fondée en 1881 par William Robertson et les frères Greenless, elle a connu plusieurs longues périodes d’arrêt, y compris après avoir été agrandie en 1963. Après quelques années d’incertitude, elle a été rachetée en 2003 par Burn Stewart qui a relancé la commercialisation et développé de nouvelles expressions, notamment tourbées.
Jaune doré. Nez sur la tourbe végétale, avec un peu de fumé. Attaque chaleureuse, marquée d’entrée par la tourbe. Un peu brûlant en bouche, il ne se manifeste aussi sur la pomme cuite, le caramel et une belle expression épicée (poivre noir notamment). D’une riche puissance, la finale et la persistance sont définitivement marquée par la tourbe, omniprésente sans être écrasante.
Un Islay puissant et chaleureux …
Sous cette dénomination originale (« Comme nous l’avons trouvé »), Ian Mac Leod propose régulièrement l’embouteillage d’un fût unique (single cask) soutiré sans la moindre manipulation : pas de réduction, pas de filtrage à froid, pas de colorant. Pur et naturel, peut-on dire. Tout repose bien évidemment sur le talent et le savoirfaire du maître de chais pour sélectionner un fût intéressant.
Jaune très pâle. Nez puissant, dominé par la tourbe plutôt phénolique, avec des notes iodées. Brûlant dès l’attaque – un peu d’eau est conseillé – il est aussi onctueux, voire gras. La tourbe phénolique est très maritime, avec une petite pointe de fumée. Mais on distingue aussi un peu de fruité. Un Islay très complet, puissant et chaleureux, avec sa tourbe ominiprésente.