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TOBERMORY

« Un grand charmeur malgré son jeune âge »

La grande île de Mull n’abrite qu’une distillerie, au nord, dans le petit port qui porte le même nom. Ses premières traces remontent à 1795, lors de sa création par un négociant, John Sinclair. Son existence fut ensuite assez sporadique, avec notamment près de 40 ans de fermeture à partir des années 30. Depuis sa reprise par Burn Stewart, elle-même achetée par le Sud-Africain Distell Group, la production est redevenue régulière, avec deux déclinaisons  : Tobermory et Ledaig, qui se distingue par son caractère tourbé. La distillerie vient de rouvrir après deux ans de travaux de modernisation.

Jaune doré. Plutôt doux au départ, le nez gagne en puissance sur le végétal (sous-bois d’automne) et quelques notes plus animales (fourrure, cuir vieilli). Attaque puissante, voire un peu brûlante, mais il devient vite bien moelleux, sur l’orge maltée, avec de la pomme cuite, du caramel au beurre et des notes épicées (poivre noir, gingembre). Finale plutôt enveloppante, sur les raisins de Corinthe, le bois de santal et un petit côté Havane. Un vrai charmeur de fin d’après-midi.

Tobermory

Pour un soir d’automne … 

La grande île de Mull n’abrite qu’une distillerie, au nord, dans le petit port qui porte le même nom. Ses premières traces remontent à 1795, lors de sa création par un négociant, John Sinclair. Son existence fut ensuite assez spora-dique, avec notamment près de 40 ans de fermeture à partir des années 30. En outre, elle porta un temps le nom de Ledaig dans les années 70. Depuis sa reprise par Burn Stewart, la production est redevenue régulière, avec deux déclinaisons : Tobermory et Ledaig, ce dernier étant tourbé.

Jaune doré. Nez fauve, animal, un peu musqué, avec du caramel au beurre. Attaque moelleuse sur les fruits cuits et la tarte Tatin. De l’ampleur en bouche, avec aussi des fruits secs (amande, noisette, raisin de Corinthe) et des arômes de sous-bois. Belle persistance sur ce fruité un peu caramélisé, aux senteurs automnales.

Tobermory

Pour un soir d’automne

La grande île de Mull n’abrite qu’une distillerie, au nord, dans le petit port qui porte le même nom. Ses premières traces remontent à 1795, lors de sa création par un négociant, John Sinclair. Son existence fut ensuite assez sporadique, avec notamment près de 40 ans de fermeture à partir des années 30. En outre, elle porta un temps le nom de Ledaig dans les années 70. Depuis sa reprise par Burn Stewart, la production est redevenue régulière, avec deux déclinaisons : Tobermory et Ledaig, ce dernier étant tourbé.

Jaune doré. Nez fauve, animal, un peu musqué, avec du caramel au beurre. Attaque moelleuse sur les fruits cuits et la tarte Tatin. De l’ampleur en bouche, avec aussi des fruits secs (amande, noisette, raisin de Corinthe) et des arômes de sous-bois. Belle persistance sur ce fruité un peu caramélisé, aux senteurs automnales.

Tobermory

Autant en apporte le vin

La grande île de Mull n’abrite qu’une distillerie, au nord, dans le petit port qui porte le même nom. Ses premières traces remontent à 1795, lors de sa création par un négociant, John Sinclair. Son existence fut ensuite assez sporadique, avec notamment près de 40 ans de fermeture à partir des années 30. En outre, elle porta un temps le nom de Ledaig dans les années 70. Depuis sa reprise par Burn Stewart, la production est redevenue régulière, avec deux déclinaisons : Tobermory et Ledaig, qui se distingue par son caractère tourbé.

Ambré léger, avec des notes orangées. Nez peu marqué, avec quelques traces de fruits rouges. Attaque fougueuse, un peu brûlante. Sur une base maltée, la bouche s’accompagne de petites notes fruitées (framboise, fraise) assez discrètes mais perceptibles, provenant manifestement de la finition en fût de bordeaux. Mais l’ensemble est bien équilibré, donnant un profil un peu plus original à un malt habituellement très classique. Finale sur le poivre noir, assez désaltérante… et bien relevée. A découvrir…

Tobermory

Atypique mais si charmeur

La grande île de Mull n’abrite qu’une distillerie, au_nord, dans le petit port de Tobermory. Ses premières traces remontent à 1795, lors de sa création par un négociant, John Sinclair. Son existence fut ensuite assez sporadique, avec notamment près de 40 ans de fermeture à partir des années 30. En outre, elle porta un temps le nom de Ledaig dans les années 70. Depuis sa reprise par Burn Stewart, la production est redevenue régulière, avec deux déclinaisons : Tobermory et Ledaig, qui se distingue par son caractère tourbe. Les d eux malts sont maintenant présentés dans une version officielle à 46°3, non filtrée à froid.

Jaune très pâle. Nez végétal, foin séché, fleurs blanches, petite pointe de pomelos. Attaque moelleuse, d’abord fraîche puis plutôt poivrée, voire pimentée. En bouche, il se développe avec puissance sur les fruits jaunes (poire, coing), les fleurs blanches, avec une petite n ote de miel et de cire jaune. Equilibré mais très concentré, il reste frais jusqu’à la finale, qui devient plus tannique et poivre blanc. Un style finalement assez atypique pour un Island, mais vraiment très agréable et charmeur.