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GLEN ELGIN – 11 ans – Finition en fût d’oloroso – 53,6° – House of Mc Callum – WH3549CGM

1″L’empreinte de l’oloroso »

La région d’Elgin au nord du Speyside, le long de la rivière Lossie, compte neuf distilleries en activité, mais celle qui porte son nom est l’une des moins connues. Fondée à la fin du 19ème siècle, modernisée en 1964 puis en 1992, ses malts sont en effet essentiellement utilisés pour l’élaboration des blends, dont le White Horse. Leur finesse fruitée découle d’une longue fermentation et d’une lente distillation. Il n’existe qu’un seul malt officiel, en 12 ans d’âge.

Brun aux reflets pourpres. Nez chaleureux, un peu vineux, sur le madère ou le porto. Sec à l’attaque, et un peu brûlant, il s’arrondit un peu en bouche, sous l’influence du xérès oloroso. Finale assez fruitée, relevée par le poivre, et bien apéritive.

Glen Elgin

Moelleusement malté

La région d’Elgin au nord du Speyside, le long de la rivière Lossie, compte neuf distilleries en activité, mais celle qui porte son nom est l’une des moins connues. Fondée à la fin du 19e siècle, puis modernisée en 1964 puis en 1992, ses malts sont en effet essentiellement utilisés pour l’élaboration des blends, dont le White Horse. Leur finesse fruitée découle d’une longue fermentation et d’une lente distillation. Il n’existe qu’un seul malt officiel, en 12 ans d’âge.

Jaune d’or. Nez d’abord, puis rond sur le malté et la croûte de pain. Attaque moelleuse, puis la puissance de l’alcool se fait vite dominante (un peu d’eau est conseillé). Dominante des céréales, avec des notes miellées, mais relevées par le poivre noir et quelques notes de gingembre. Le fruité (poire très mûre) se fait également sentir. Finale longue et chaleureuse, avec de la persistance sur le moelleux malté.

Glen Elgin

Puissamment savoureux …
La région d’Elgin au nord du Speyside, le long de la rivière Lossie, compte neuf distilleries en activité, mais celle qui porte son nom est l’une des moins connues. Fondée à la fin du 19e siècle, puis modernisée en 1964, ses malts sont en effet essentiellement utilisés pour l’élaboration des blends, dont le White Horse. Leur finesse fruitée découle d’une longue fermentation et d’une lente distillation. Il n’existe qu’un seul malt officiel, en 12 ans d’âge.

Ambré. Nez un peu discret, avant que ne se développent le biscuit malté, le caramel au beurre et un peu de cire d’abeille. Moelleux voire onctueux au premier abord, il devient ensuite un peu brûlant (degré oblige) sans perdre de son côté fruité (pomme cuite, poire jaune). Le corps est puissamment savoureux, mais bien équilibré, avec une belle finale poivrée et une remarquable persistance. Un Speyside qui reste à découvrir.