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MC ELEGANCE

« Un tendre qui se révèle puissant » …

Appartenant à un des plus anciens clans d’Ecosse qui lui a donné son premier roi, Anthony McCallum a d’abord vécu en France avant d’aller se former au whisky en Ecosse sous la direction des meilleurs spécialistes. Après plus de 20 ans passés à travailler pour des négociants, il a créé sa propre société d’embouteillage, House of McCallum, développant une gamme de malts bien typés comme il les aime.

Jaune doré. Le nez est tendre, surtout fl oral, suivi par des notes plus épicées (gingembre). Attaque sur la rondeur, puis s’élève une puissance plus sèche, davantage fruitée et boisée. Le xérès, sans être vraiment identifi able, donne une belle suavité générale, se terminant par une tonalité un peu âcre.

MC PINK

« En hommage à Mary d’Ecosse »

Appartenant à un des plus anciens clans d’Ecosse qui lui a donné son premier roi, Anthony Mc Callum a d’abord vécu en France avant d’aller se former au whisky en Ecosse sous la direction des meilleurs spécialistes. Après plus de 20 ans passés à travailler pour des négociants, il a créé sa propre société d’embouteillage, House of McCallum, développant une gamme de malts très typés comme il les aime.

Nez bien malté, avec de la puissance, sur le fruité et la vanille, avec de belles notes poivrées. Moelleux à l’attaque, il devient plus sec, tout en se développant sur le fruité (confiture de fraise) et le cacao amer. Poivre noir, voire piment, mais aussi un peu de miel. Finale chaleureuse, bien persistante. Composé à 40 % de single malt, il se présente avec une étiquette originale de l’artiste Ashley Cook représentant la reine Mary d’Ecosse.

MC WARRIOR

« Xérèsement vôtre »

Appartenant à un des plus anciens clans d’Ecosse qui lui a donné son premier roi, Anthony Mc Callum a d’abord vécu en France avant d’aller se former au whisky en Ecosse sous la direction des meilleurs spécialistes. Après plus de 20 ans passés à travailler pour des négociants, il a créé
sa propre société d’embouteillage, House of Mc Callum, développant une gamme de malts très
typés comme il les aime.

Ambré foncé à dominante grenat. Nez vineux sur le liquoreux. Moelleux à l’attaque en bouche, il est bien marqué par les fruits rouges et noirs (cassis, mûre) sur une base maltée. Notes d’épices assez discrètes, avec une pointe de poivre noir. Très agréable sur la persistance un peu liquoreuse, mais est-ce encore un whisky ? A l’aveugle, on pourrait facilement s’y tromper…

MC of the isles

« Sec, voire minéral »

Appartenant à un des plus anciens clans d’Ecosse qui lui a donné son premier roi, Anthony McCallum a d’abord vécu en France avant d’aller se former au whisky en Ecosse sous la direction des meilleurs spécialistes. Après plus de 20 ans passés à travailler pour des négociants, il a créé sa propre société d’embouteillage, House of McCallum, développant une gamme de malts très typés comme il les aime.

Jaune très pâle. Nez floral, mais aussi sur la pomme mûre et la guimauve. Attaque épicée, voire brûlante malgré la réduction. Très sec de corps, presque minéral, il est peu aromatique, avec surtout des notes de poivre noir. De la puissance jusqu’à la finale, où les céréales se font surtout sentir sur une persistance assez courte.

MC Peat

« Tourbé… juste ce qu’il faut »

Appartenant à un des plus anciens clans d’Ecosse qui lui a donné son premier roi, Anthony McCallum a d’abord vécu en France avant d’aller se former au whisky en Ecosse sous la direction des meilleurs spécialistes. Après plus de 20 ans passés à travailler pour des négociants, il a créé sa propre société d’embouteillage, House of McCallum, développant une gamme de malts très typés comme il les aime.

Jaune pâle. Au nez, le tourbé se développe d’entrée, mais assez léger, plus végétal que phénolique. En bouche, plus gras à l’attaque, devient plus puissant voire brûlant. La tourbe du nez reste présente jusqu’à la finale, accompagnée de notes fruitées (poire) puis poivrées. Légère persistance tourbée.

Laphroaig

Tourbé, mais avec modération …
Créée vers 1815 par la famille Johnston (dont l’un des membres a péri noyé… dans une cuve de fermentation), cette distillerie d’Islay est longtemps restée une propriété familiale, possédant ses propres aires de maltage de l’orge (toujours utilisées) et ses tourbières. Sa puissance et ses arômes originaux ont donné à Laphroaig (qui se prononce « Lafrog ») un rôle de pionnier dans la découverte des malts d’Islay.
Jaune clair. Plutôt doux au nez, puis la tourbe fumée se laisse deviner, sans être très marquée. Attaque onctueuse sur la prune jaune, puis la tourbe fumée s’installe calmement, pour finir par dominer tout le palais. Elle s’accompagne d’épices (gingembre, coriandre, un peu de poivre gris) dans un équilibre bien harmonieux. Finale plus âpre, presque astringente.